Les réseaux sociaux toxiques

Les forces anti-hommes sont partout, et ceci inclut les réseaux sociaux. Nul besoin de dire que dans ces plateformes, elles s’en donnent à cœur joie. C’est un endroit où les égos peuvent s’exprimer sans contraintes, et de plus, sous le couvert de l’anonymat, ce qui devient littéralement un canal parfait pour l’astral. Dans cet espace moderne de communication sociale, on a remplacé la lapidation par une forme plus subtile de rejet : lorsque quelqu’un exprime une souffrance ou manifeste sa différence ou son opposition au groupe, on le condamne et on l’exécute ‘’virtuellement’’. La moquerie et l’humiliation publique deviennent rapidement de l’intimidation ‘’légale’’. On oublie que lorsque quelqu’un souffre, c’est toujours, au bout du compte, d’une attaque sournoise de l’astral. Peu importe si son expression est ou n’est pas habile, digne, ‘’acceptable’’, ou si elle ressemble ou non à de la victimisation, la personne est attaquée par les forces anti-hommes. En fait, quelqu’un qui souffre est toujours une victime, mais pas de ce qu’elle croit. Elle est victime des forces sous-jacentes à notre vie matérielle. L’Amour est l’un de nos grands principes. Ça veut dire quoi, au juste? Ça veut dire, entre autres choses, qu’on ne laisse pas l’un de nos pairs en détresse, peu importe notre affinité avec sa personnalité ou avec sa façon de s’exprimer. L’Amour universel ne juge pas, ne condamne pas, ne rejette pas. Il s’allie à l’Intelligence et à la Volonté pour se manifester sur Terre. Lorsqu’on est un être conscient, on ne fait pas de discrimination. Rien ne nous oblige à aimer personnellement l’autre ni à le côtoyer intimement, mais rien ne nous autorise non plus à lui refuser notre lumière, si c’est ce que la personne cherche. Car la lumière n’appartient à personne, elle est libre de circuler où elle veut, et tout le monde y a droit. Et lorsqu’on souffre, on cherche toujours la lumière, ‘’au bout du tunnel’’… Ne soyons pas le tunnel en étant complice avec les forces anti-hommes et de ce qu’il y a de plus bas en nous. Soyons la lumière. Soyons la libération et le soulagement de la souffrance. Si nous ne sommes pas rendus à pouvoir manifester l'Amour universel, nous pouvons tout de même manifester du respect, ce qui est déjà quelque chose.


Au début, il y a l’indifférence. Ensuite viennent le mépris, la moquerie, qui dégénère en intimidation assez rapidement. Car se moquer de quelqu’un, surtout publiquement, c’est de l’intimidation. Et de cette cascade de réactions égoïques et inconscientes découle une des réactions les plus destructives de l’humanité : la vengeance, qui est à l’origine de toutes les guerres. La complicité que nous entretenons avec ces forces négatives destructrices est la seule raison de leur succès. À nous de ne plus en être complices.

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